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(Beyrouth) :: Le quartier de la place de l'étoile, complètement détruit lors de la guerre civile, a été reconstruit dans un esprit moderniste, aux lignes architecturales épurées. Les rues menant, en étoile, vers la place centrale ont été élargies par rapport aux anciens tracés et leur accès limité aux piétons (chose rare à Beyrouth) en font un lieu de promenade très fréquenté par les Beyrouthins. © Élise Braud (Beyrouth) :: Les nombreux cafés et restaurants situés sous les arcades des rues convergeant vers la place de l'étoile sont essentiellement fréquentés par une clientèle aisée, libanaise ou étrangère. Que ce soit pour voir et être vu, goà »ter à une carte internationale ou simplement profiter du calme de la zone piétonne. © Élise Braud (Beyrouth) :: Dans les "à souksà " de Beyrouth, devenus un imposant complexe commercial à l'architecture résolument moderniste, les grandes marques internationales (Hermès, Dior, Zara…) ont remplacé les commerces traditionnels désormais introuvables dans le centre-ville. © Élise Braud (Beyrouth) :: Le quartier de Saïfi représente un parfait exemple de rénovation urbaine du centre-ville beyrouthin, inspiré des villes européennes comme, ici, la place publique entourée d'arbres avec une fontaine en son centre. Avec ses galeries d'art, ses trottoirs fleuris et son habitat de haut standing, Saïfi est assez révélateur d'une gentrification du centre-ville rénové. © Élise Braud (Beyrouth) :: Ouverte en 2008, la mosquée Mohammad al-Amine, située aux abords de la place des martyrs et du centre-ville reconstruit, représente désormais le plus vaste lieu de culte au Liban. Pour l'ex-premier ministre libanais sunnite Rafic Hariri, qui a financé sa construction, elle devait symboliser la renaissance de Beyrouth. © Élise Braud (Beyrouth) :: La richesse de la décoration intérieure de la mosquée al-Amine complète sa magnificence architecturale. © Élise Braud (Beyrouth) :: La rue Gouraud, dans le quartier de Gemmayze, compte de nombreux bâtiments historiques relativement épargnés par la guerre civile mais représente surtout, au-delà de son intérêt touristique, un des hauts lieux de la vie nocturne beyrouthine. © Élise Braud (Beyrouth) :: Un exemple de rénovation urbaine par patchwork architectural à Achrafief, quartier chrétien de Beyrouth. © Élise Braud (Beyrouth) :: Certaines traces de la guerre civile libanaise sont encore présentes dans le paysage urbain, comme ici la marque des Forces Libanaises (Kataà« b al-Lubnan), dans le quartier chrétien d'Achrafieh. © Élise Braud (Beyrouth) :: Situé à un point névralgique des combats urbains pendant la guerre civile, cet immeuble d'habitation construit en 1924 par l'architecte libanais Youssef Aftimus, nommé Beit Beirut (la maison de Beyrouth), fait aujourd'hui l'objet d'un programme de rénovation (co-financé par la mairie de Paris) et de création d'un musée dédié à l'urbanisme beyrouthin. La lente avancée des travaux permet toutefois de douter de l'ouverture effective du musée en 2013, comme annoncé sur la façade. © Élise Braud (Beyrouth) :: La rue de Damas, séparant Beyrouth Est (à majorité chrétienne) de Beyrouth Ouest (à majorité musulmane sunnite) a constitué, pendant la guerre civile, la ligne de démarcation entre les deux camps, comme en témoignent encore aujourd'hui certains bâtiments criblés de balles et dont les habitants ne sont pas revenus. © Élise Braud (Beyrouth) :: Les projets immobiliers fleurissent dans le centre-ville beyrouthin, visant la destruction d'anciens immeubles durement affectés par la guerre civile et l'édification, à leur emplacement, de luxueux complexes d'habitation dédiés aux catégories sociales les plus favorisées. © Élise Braud (Beyrouth) :: Un grand hôtel situé près de la corniche, portant encore les traces des impacts de tirs datant de la guerre civile. © Élise Braud (Beyrouth) :: Le groupe Solidere en charge de la reconstruction du centre-ville de Beyrouth fait l'objet de fortes critiques, émanant notamment d'associations de préservation du patrimoine, en raison de sa politique de modernisation urbaine sans beaucoup d'égards pour le riche patrimoine architectural du Beyrouth d'avant-guerre, qui lui valait sa réputation de "à Paris de l'Orientà ". © Élise Braud (Beyrouth) :: Dans le prolongement du centre-ville reconstruit, vers la corniche, un quartier entier de logements haut de gamme de style architectural occidental et contemporain est en cours de construction. © Élise Braud (Beyrouth) :: Beyrouth Est. Un exemple de bâti ancien non rénové et réapproprié pour des usages commerciaux peu valorisant en termes d'image. On est loin des galeries d'art de Saïfi. © Élise Braud (Beyrouth) :: "à Raouchéà " ou la Grotte aux Pigeonsà vue de la corniche : LA carte postale de Beyrouth rappelle que la ville est située sur un promontoire rocheux bordé de falaises. La seule plage sableuse de Beyrouth, Ramlet el-Baïda, se trouve au sud de la ville. Quant aux "à plagesà " privées des hôtels de la corniche, il s'agit en réalité d'un ban de rocher voire uniquement d'une piscine creusée. © Élise Braud (Beyrouth) :: La corniche, longue promenade bordée de palmiers longeant la mer Méditerranée, s'étend du Golfe de Saint-Georges, au nord de Beyrouth jusqu'à l'avenue du Général de Gaulle, au sud de la Grotte aux Pigeons. Il s'agit d'un des lieux de sociabilité beyrouthine socialement les plus mixtes, fréquenté aussi bien par les familles modestes que la jeunesse dorée. © Élise Braud (Beyrouth) :: Faute de plage sableuse, la baignade s'improvise sur les dalles rocheuses s'enfonçant dans la mer. © Élise Braud (Beyrouth) :: Si toutes les catégories sociales fréquentent la promenade de la corniche, seules les catégories les plus aisées peuvent se permettre d'habiter le front de mer, où des immeubles haut de gamme fleurissent entre les hôtels de luxe pour les touristes étrangers. © Élise Braud (Bourj Hammoud ) :: À l'est de Beyrouth, Bourj Hammoud est le quartier de la communauté arménienne. Les icônes religieuses chrétiennes sont omniprésentes dans la rue. © Élise Braud (Bourj Hammoud ) :: Calvaire chrétien à Bourj Hammoud. Il est rare au Liban de voir le drapeau américain flotter au vent mais, dans le quartier de la communauté arménienne, les relations avec l'Oncle Sam ont l'air plus cordiales. Faut-il y voir un signe de la forte influence de la diaspora arménienne outre-Atlantique ? © Élise Braud (23.Bourj Hammoud ) :: L'aspect précaire et désordonné de l'infrastructure électrique du quartier de Bourj Hammoud constitue sans doute le signe d'une reconstruction à la va-vite des infrastructures détruites lors des raids israéliens de 2006. Ce quartier, fief de la communauté arménienne, compte également une forte population d'origine palestinienne. La présence en 2006 de l'OLP à Bourj Hammoud en a fait une cible privilégiée du pilonnage israélien. © Élise Braud (Mleeta) :: Situé dans les montagnes du Sud-Liban, un des principaux fiefs du Hezbollah, le musée de la résistance de Mleeta a ouvert ses portes en mai 2010. Financé et conçu par le Hezbollah, il s'agit d'une de ses anciennes bases militaires de la guerre israélo-libanaise de 1982, reconvertie en musée à "la gloire de la résistance libanaise contre Israà« l et des martyrs de la résistance". L'idéologie anti-israélienne est omniprésente sur le site : les visiteurs sont accueillis par un discours de Hassan Nasrallah, sur fond de musique guerrière. Mais elle est habilement enrobée par un marketing touristiqueà moderne, tant dans le concept deà musée en plein air que dans le design contemporain des bâtiments ou l'accueil chaleureux et multilingue des visiteurs libanais et étrangers. © Élise Braud (Affiches) :: Ces affiches murales représentant des pop-stars libanaises incarnent une image séductrice et plastiquement artificielle de la modernité "à occidentaleà ". © Élise Braud (Mur) :: Beyrouth. Les Libanais et la gastronomie, une longue histoire. © Élise Braud (Mur) :: Beyrouth. © Élise Braud (Mur) :: Un trompe-l'Å“il mural rue Monnot, dans le quartier d'Achrafieh à Beyrouth. Le bâtiment porte encore les traces de la guerre. © Élise Braud (Saïda) :: Un artisan ébéniste dans le souk de Saïda (3e ville du Liban, située à 40km au sud de Beyrouth). © Élise Braud (Saïda) :: Ruelle du souk de Saïda. La famille Hariri, originaire de Saïda, a financé la rénovation du centre historique et du souk traditionnel afin de contribuer au développement du tourisme local. © Élise Braud (Saïda) :: Port de pêche de Saïda, l'une des activités économiques principales de la ville. © Élise Braud (Saïda) :: Baie de Saïda. En arrière-plan, on devine laà "à Montagneà ", gigantesque tas de déchets de 50mà sur 375m en croissance d'environ 200 tonnes par jour. En attendant la lente élaboration et application des programmes de gestion des déchets, cet édifice instable contribue grandement à la pollution des eaux marines et représente un véritable défi environnemental. © Élise Braud (Tripoli) :: Le centre historique de Tripoli (2e ville du Liban, située à 85km au nord de Beyrouth) compte encore plusieurs hammams en activité ou en rénovation, comme ici le hamman el-Abed datant du XVIIe siècle. © Élise Braud (Tripoli) :: Sur les hauteurs est de Tripoli, près de la citadelle Saint-Gilles, l'armée libanaise est prête à intervenir en tant que force d'interposition lors d'affrontements entre les communautés sunnite (majoritaire) et alaouite vivant dans les quartiers alentours. © Élise Braud (Tripoli) :: Vue de la citadelle Saint-Gilles sur les collines de l'est de Tripoli,à mitées par une urbanisation croissante composée majoritairement d'habitat populaire. © Élise Braud (Tyr) :: Branchement électrique dans le centre-ville de Tyr (ville du sud-Liban) défiant les règles élémentaires de sécurité et traduisant sans doute une réparation hâtive du réseau électrique après les bombardements israéliens de 2006. © Élise Brau (Tyr) :: À Tyr, ville à à majorité chiite, le Hezbollah est fortement implanté et représente un des acteurs majeurs de la reconstruction et de l'aménagement urbain (routes, écoles…). © Élise Braud

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